samedi 15 août 2009

La mondialisation

La mondialisation: influence sur nos modes de vie, phénomène vu par les jeunes, rôle des médias, avantages et inconvénients.

Le terme mondialisation désigne l'accroissement des liens d'interdépendance entre les pays à l'échelle de la planète. Au XXème et XIXème siècle des nombreux changements induits par des avances importants au niveau technologique ont permit que les échanges internationaux de biens, de main-d'œuvre et de connaissances soient aujourd'hui plus faciles et plus rapides.

La mondialisation ne touche pas seulement les échanges économiques et culturels. Presque toute action faite dans une parti du monde a des certaines conséquences dans d'autres parts du globe, par rapport pas seulement à l'économie, mais aussi à l'écologie, aux mouvements migratoires et à la politique, par exemple.

Aujourd'hui aux pays développés on a l'accès aux nombreuses produits provenant de différents points de la planète. La choix est plus variée et les prix sont plus bon marché dès que la production est délocalisée. Au même temps, le chômage entre la main-d'œuvre qui travaillaient aux usines monte, et la xénophobie devient de plus en plus grave dans quelques secteurs.

D'autre part, les pays en voies de développement ont d'accès aux médias, et aux avances technologiques, mais pas tous réjouissent cet accès de la même façon. Il y a par exemple des médicaments impossibles à acheter, des droits impossibles á accomplir, la nourriture n'est pas toujours là... Les jeunes ont accès via les médias aux modes de vie au monde développé et ils risquent leur vie, des fois, pour accomplir le rêve de réussir à mieux vivre.

Les médias peuvent donner la parole à ceux dont on ne la donne pas très souvent. Grâce à la télé et aux journaux, ont apprend les mesures pris par des organismes internationaux qui affectent la planète. Mais on apprend aussi les manifestations des mouvements antimondialisation. D'autre part, des documentaires nous font prendre conscience sur la situation réel des pays en voies de développement.

Pour en conclure, la mondialisation est inéluctable, mais les pays ne bénéficient pas tous au même dégrée de l'apparition de ce qu'on appelle le village mondial. Une autre mondialisation plus juste est possible.

jeudi 5 février 2009

Le jour après

C'est jeudi. Le ciel n'est pas si bleu, ce n'est pas si gris non plus. Comme chaque jeudi je me suis levée presque trop tard et j'ai pris le métro près qu'en retard. Je n'avais que vingt minutes pour le trajet et d'autres cinq minutes pour aller au pied dès l'arrête de métro au travail. Les vingt minutes du trajet sont toujours délicieux. Si je me sens forte, je lis. Si non, la première chose que je fais, c'est la sieste. Les yeux sont programmés au microseconde et ils s'ouvrent automatiquement à l'arrête avant la mienne.

Bien que je ne me sentais pas très forte, j'ai décidé de lire aujourd'hui. J'étais en train de finir Le Jeu d'Ender, d'Orson Scott Card -au cas où vous ne l'avez pas lu, je vous l'assure: c'est formidable-. Quelques sept pages plus tarde, je me suis rendue compte que j'étais 3 arrêtes plus loin du travail qu'au début. Je m'avais trompé de direction. Et bon, je suis arrivée vingt minutes en retarde. J'ai essayé de me laisser rattraper pour le monde d'Ender pendant le trajet, mais c'était difficile. Une petite voix à l'intérieur ne cessait point de dire: quelle bête, quelle bête, quelle bête. Donc, j'ai pensé que ça serait mieux de penser aux petit histoires quotidiennes. Je m'ai posé la question: Qu'est qui c'est passé, parfois, hier? Hier, je venait de faire l'examen écrit. Ce n'était pas facile de s'exprimer en français, et donc j'avais choisi un objectif claire d'ici au mois de Juin: D'écrire des petit histoires quotidiennes régulièrement.

Aujourd'hui, j'y suis arrivée!

dimanche 11 janvier 2009

Pas si catastròphique que céla...

... Je parle de mon français, bien sûr!

On est revenue à la routine il y a moins d'une semaine. On n'est allée très loin, ce n'était qu'un pétit voyage pour recommencer un peu. Pour oser faire d'autres choses, pour oser y penser. La vie, c'est presque la même. Le réveilleur sonne à sept heures moins le quarte, comme avant. Et c'est la même route pour aller au travail. On partage des ris avec les mêmes amis et quand on y a besoin, on sait, le quels números on peut apeller.

En plus, il y a les journaux. Une guerre crue, par exemple. Quand j'étais petite je voulais être journaliste. Ça ne durait pas si longtemps. Je pensais que si les gens sauraient ce qui se passait, des choses terribles ne passeriont pas... ben, comme je me trompais!